Friday, December 18, 2009

UP IN THE AIR ***


Between James Cameron's AVATAR, its acrylic painting vision of the world filled with mega-smurfs and Jason Reitman's UP IN THE AIR, its very down to earth landscape and George Clooney, I opted for the latter even if it doesn't fly as high as one can expect in the spite of the two page ads in the newspapers, signaling the beginning of the awards race.
UP IN THE AIR is a fine movie - the story of a lonely guy flying the four corners of the USA in order to fire people from their jobs. It is intelligent, thoughtful, just slightly depressing and sometimes funny. The screenplay is definitely not one of the best ever written : too many clichés, too many lines landing flat, not first class material (coming from someone who is not afraid of writing coach and flying cattle, it says a lot) but it is worth watching. George Clooney and Vera Farmiga deliver strong performances as does the rest of the cast. Avatar can wait but I will see it anyway smurfs or not.

Entre la vision du monde tendance peinture acrylique peuplée de gros schtroumphs de James Cameron (AVATAR), et celle de Jason Reitman ras des pâquerettes mais avec George Clooney (UP IN THE AIR), j'ai opté pour le film de Reitman même s'il ne vole pas aussi haut qu'on le dit et ceci malgré la méga campagne du pub dont il bénéficie.
UP IN THE AIR est un bon film qui raconte l'histoire d'un homme très seul qui voyage beaucoup par avion et dont le métier consiste à virer des employés. Job ingrat s'il en est et terriblement d'actualité. Le film est intelligent, bien pensé, légèrement déprimant mais parfois assez drôle. Le scénario n'est cependant pas de première classe : trop de clichés, des répliques qui tombent carrément à plat ou qui sont tellement attendues qu'elles en deviennent absurdes (ceci venant de quelqu'un qui assume son écriture de classe touriste et qui voyage en classe sardine). George Clooney et Vera Farmiga forment un excellent duo et sont accompagnés d'un formidable ensemble d'acteurs. Avatar et ses shtroumphs attendra, il peut attendre. comme le virus H1N1, il s'est répandu sur tout la planète et je ne manquerai pas d'être contaminée.

1 comment:

Nora said...

Tout a fait d'accord. Sympa de voir la crise economique se jouer sur l'ecran avec humour, mais les references a la culture populaire etaient un peu trop cliches: toute la salle a rigole lorsque la nouvelle embauche ecrit Glocal sur le tableau alors que c'est un mot qui court dans les salles d'uni depuis l'an 2000.