Wednesday, June 25, 2008

The Children Of Huang Shi


The Children Of Huang Shi belongs to the strange family of films suffering from schizophrenia: they don’t know if they are biopics, romance, drama, historical or adventure. As a result, the actors act dazed and confused and in this case, it is most welcome since the heroin is a nurse who is also a drug addict (oxymoron?) and the hero is a journalist who is also the ridiculously adorable Jonathan Rhys Meyers. Based on a true story (by movie standards, a real curse), it tells the story of George Hogg (Rhys Meyers) a proper English journalist and gentleman lost in the battle of Nanjing (aka Nanking) who by a turn of fate escorts 60 orphaned children 700 miles through the Liu Pan Shan Mountains. The Nanking massacre is a somehow not very well known event which took place during the Japanese occupation of China. The Children of Huang Shi starts with this horrific event and moves away from it pretty fast. It is surely not movie material - unless the only novel I know based on it : The Devil of Nanking by Mo Hayder, becomes a film. This is one of the rare books that gave me nightmares so I don’t really recommend it.
There is not much to say about the Children of Huang Shi. It is paved with good intentions and as long as the great wall of China. It has opium, crickets and kites because that’s how you know it’s a movie set in China… Like you know it’s a movie set in France because it has bread, wine and pretty girls. Or an Italian movie because it has pasta, gucci and la Belucci. Or (and on and on and on... fill the blanks yourself: pick a country and three words, it's easy).
I know I fell asleep a few times and woke up confused not to see Jonathan Rhys Meyers with his hot hoop tights chasing the Boleyn on Showtime but it’s because I have been obsessed by the Tudors lately. I know… she is dead but there are five more to go!
The Children Of Huang Shi appartient à la famille des films souffrant de schizophrénie chronique, ceux qui ne savent pas très bien s’ils sont des drames, des comédies, des films d’aventures ou des sagas. De fait. les acteurs semblent un peu planer et dans ce cas ce n’est pas très grave vu que l’héroine est une infirmière opiomane et le héros l'adorable hottie Jonathan Rhys Meyers. Le film est basé sur des faits réels (mauvaise nouvelle à mon sens) et raconte plus ou moins la vie de George Hogg (Rhys Meyers) un journaliste Anglais qui se perd dans la bataille de Nanjing (aka Nanking) avant de s’occuper de 60 orphelins avec qui il entreprendra une traversée de plus 1500 kilomètres à travers les montagnes de Liu Pan Shan. Le massacre de Nanking est un fait historique rarement abordé qui s’est produit pendant l’occupation Japonaise de la Chine. The Children of Huang Shi commence dans ce contexte et s’en éloigne très vite ce qui n’a rien d’étonnant vu que ce massacre n’a rien de cinématographique. La seule tentative de fiction que je connais sur Nankin est le livre de Mo Hayder qui s’intitule Tokyo qui est un des rares livres à m’avoir donné des cauchemars donc je ne le recommande à personne.
Il n’y a pas grand chose à dire sur The Children of Huang Shi. Film pavé de bonnes intentions et aussi long que la grande muraille, il a ses crickets, son opium et ses cerf-volants comme un bon film français aurait sa baguette, son vin et ses jolies filles. Pour continuer sur la lancée, totu film italien qui se respecte à ses spaghettis, ses Gucci et sa Belucci etc etc... c'est le jeu de l'été: choisissez un pays et en trois mots, le film est dans la boite!
Pour en revenir a Huang Shi, je me suis assoupie plusieurs fois et me suis réveillée en sursaut pour m’étonner de ce que Jonathan Rhys Meyers n’était pas en train de courser la Boleyn avec ses culottes bouffantes mais c’est juste parce que les Tudors m’obsèdent depuis peu. Je sais… elle a perdu la tête… je m’en fous, il y a en a encore 5 à venir!

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